Pourquoi vous ne trouverez pas les meilleurs freelances créatifs en cherchant sur Google ?

Pourquoi vous ne trouverez pas les meilleurs freelances créatifs en cherchant sur Google ?

Ils sont experts, aguerris et créatifs, et surtout invisibles. Les meilleurs freelances ne sont pas toujours à portée de moteur de recherche…

Ils ont travaillé dans les meilleures agences, ils ont collaboré avec les plus grandes marques, parfois ils ont gagné des prix qui récompensent l’excellence de leur travail en France et à l’international, pourtant ils n’apparaissent pas dans vos résultats de recherche quand vous tapez : “Directeur Artistique Paris”, “Concepteur rédacteur expérimenté”, “Meilleur motion designer” ou “Planneur stratégique” dans Google.

Ils sont invisibles.
Ils sous les radars.
Mais pourquoi ?


Les agences ont plutôt intérêt en général à ne pas rendre leurs talents trop visibles, pour éviter de se les faire voler. A l’exception notable des festivals publicitaires, où des talents (principalement des créatifs) sont célébrés lorsqu’ils gagnent des prix (et donc souvent débauchés par d’autres agences), les personnes qui écrivent les scripts TV, qui designent des identités visuelles, qui pensent les stratégies, qui créent les expériences de marque, les activations, les posts, les logos, les apps, les sites, les workshops, les filtres, les recommandations… restent dans l’ombre. D’ailleurs, ils ne sont généralement pas souvent conviés lors des réunions clients-agences. On voit les patrons parfois, ceux qui vendent, ceux qui décident, ceux qui organisent mais rarement ceux qui créent.

Aujourd’hui, beaucoup de ces talents décident de quitter les agences pour devenir freelance. Les raisons nous les connaissons car elles sont en grande partie à l’origine de la création d’acracy :

  • Un modèle traditionnel d’agence qui peine de plus en plus à rester profitable, rémunérateur et attractif.
  • Un climat au travail qui s’en ressent et qui devient inacceptable aux yeux de beaucoup (trop) de gens.
  • Un CDI qui n’a plus grand chose à voir avec le graal qu’il était il y a quelques années.

Quand on fait les comptes, on comprend pourquoi sur les 1 million de freelances en France plus de la moitié travaillent dans l’industrie du marketing et de la communication.


Pourtant lorsqu’ils deviennent indépendants, tous ces anciens d’agence ne sortent pas de l’ombre pour autant. Le monde des agences est connu pour être un microcosme fermé, alors quand des talents sont (re)connus sur le marché, ils/elles travaillent généralement par leur propre réseau : d’autres agences, parfois leurs anciennes agences, leurs anciens clients ou leurs connaissances. Voilà pourquoi c’est une mission quasiment impossible de les trouver quand on tape “Directeur artistique Paris” sur Google. Pour les voir, il faut être dans leur réseau.

La raison à ça est simple et c’est les freelances qui nous l’ont soufflée.

Dans la communauté acracy il y a aujourd’hui plus de 250 talents dont la quasi totalité sont passés entre les murs d’une ou de plusieurs agences. Bien sûr, la loi des grands nombres nous interdit de juger cet échantillon comme représentatif de la population des freelances de l’industrie créative. MAIS. Au cours des derniers mois, nous (enfin surtout Séverine puisque c’est elle qui est en charge des talents et de la communauté chez acracy) avons passé du temps avec eux pour échanger sur leurs parcours, leurs expériences, leurs ambitions et leurs passions. Nous avons discuté avec tous ces planneurs, ces directeurs artistiques, ces rédacteurs, ces UX designers, ces social media managers, ces motion designers qui naviguent sous les radars. Nous leur avons donc demandé si ils étaient sur des plateformes de freelancing généralistes et si c’était le cas qu’en pensaient-ils ?

8 fois sur 10 ils nous ont avoué qu’ils n’y avaient soit jamais mis les pieds, soit qu’ils avaient été déçus et qu’ils gardaient des profils sans être actifs. Pourquoi ? Parce que leur métier et la valeur de leur expérience sont mal compris sur des plateformes où le choix est dirigé par le prix, et où un expert avec 10 ans d’expérience peut être mis en concurrence directe avec un étudiant, baissant la valeur perçue de leur expertise.

C’est la grande différence d’acracy.

D’une part, nous avons à nous deux passé plus de 10 ans dans de très belles agences (BETC, TBWA, BBDO, Marcel, R/GA), où nous avons côtoyé des personnes talentueuses, qui ont fondé la base de notre communauté. Et comme les gens talentueux connaissent des gens talentueux, notre communauté grandit par la recommandation, avec des talents dont nous parlons le langage, connaissons le métier, et donc comprenons et savons défendre la valeur.

D’autre part, nous avons une relation personnelle avec chaque freelance. Nous les rencontrons pour apprendre à les connaître, définir avec eux leurs envies, leurs points forts, et ce dans quoi ils excellent. C’est pour ça que de nombreux talents qui refusent les plateformes sont heureux de faire partie de notre communauté.

Ils sont sous le radar.
Ils sont sur acracy.
Venez les rencontrer.

www.acracy.co